Génération Sans Tabac :

« Une information indépendante et rigoureuse pour un monde libéré du tabac »

Génération Sans Tabac : notre projet

A l’origine de 75 000 morts par an en France, 9 500 en Suisse, près de 13 000 au Québec et 15 000 en Belgique, le tabac reste la première cause de mortalité prématurée évitable dans le monde. L’Afrique, qui est confrontée encore aux maladies infectieuses, entre de plain-pied dans sa consommation avec une explosion à venir de la mortalité attribuable au tabagisme.
Parallèlement, la culture et le commerce du tabac sont des obstacles au développement durable et un facteur de pollution majeur de l’air, des sols et de l’eau. Enfin, la consommation de tabac est un facteur et un marqueur de pauvreté car elle se fait aux dépens de biens de consommation et de services plus indispensables.
Pour contrer cette épidémie industrielle, la Convention-Cadre de l’OMS pour la lutte anti-tabac (CCLAT) décrit et recommande les mesures dont l’efficacité a été scientifiquement démontrée pour réduire la consommation de tabac. Son article 4.7 insiste sur le rôle de la société civile et l’article 12 sur l’importance de l’éducation, la communication, la formation et la sensibilisation du public.
Développée par le Comité National Contre le Tabagisme (CNCT), « Génération sans Tabac » est la première plateforme francophone de mobilisation citoyenne contre le tabagisme.
Dans un monde où les canaux véhiculant l’information sont volontiers utilisés, avec une information manipulée, dans un objectif mercantile, Génération Sans Tabac poursuit une triple exigence : celle de l’indépendance, de la transparence et de la rigueur scientifique.
Ce projet est soutenu financièrement par le Fonds de lutte contre le tabac, devenu Fonds de lutte contre les addictions. Il est mené en partenariat avec Smoke-Free Partnership (SFP), l’Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires (L’Union), l’Alliance pour le contrôle du tabac en Afrique et l’Alliance contre le Tabac (ACT). Le projet est accompagné grâce à l’expertise de Thomas Laurenceau, ancien rédacteur en chef de la Revue 60 millions de consommateurs et du Pr Jacques Cornuz du Centre hospitalier universitaire Vaudois.

Divers scientifiques ont été sollicités dans le cadre de ce projet :